Pur baroudeur, le 4×4 Toyota BJ 40 est devenu un véhicule de collection de grand prestige. Très recherché par les collectionneurs, son physique plaisant, sa fiabilité et sa robustesse, le Toyota BJ 40, pouvant transporter jusqu’à 6 passagers, est le choix parfait pour une location de voiture en Corse.

Du coeur de la ville aux grands espaces sauvages, c’est le 4×4 d’explorateur par excellence pour une découvrir la Corse. En effet, que vous soyez adepte de centre-ville ou de grandes plages de sable fin, ou encore de grands espaces de montagne, le Toyota BJ 40 sera votre parfait compagnon de route en toutes circonstances.

Muni d’un hard-top facilement modulable, le Toyota BJ 40 est le parfait 4×4 pour vous faire voyager en Corse en toutes saisons. Libéré de son hard-top pour la saison estivale, il se transforme en un fantastique cabriolet, vous permettant de découvrir la Corse autrement, cheveux aux vents, lors de vos balades entre mer et montagne.

CARACTÉRISTIQUES DU VÉHICULE :

Année :
1977

Carrosserie :
Cabriolet/HardTop

Moteur : 
4 cylindres

Transmission : 
Propulsion

Kilométrage :
5 000-50 000 km

Places : 
6

Puissance : 
80 ch.

Boite de vitesse : 
Manuelle

Année :
1977

Carrosserie :
Cabriolet/HardTop

Kilométrage :
5 000 – 50 000 km

Places :
6

Puissance :
80 ch.

Boite de vitesse :
Manuelle

Moteur :
4 cylindres

Transmission :
Propulsion

HISTOIRE DU TOYOTA BJ 40

Si Toyota est devenu le premier constructeur mondial dans l’automobile, c’est en grande partie grâce au Land Cruiser BJ 40. C’est en effet ce dernier qui lui a permis de conquérir le monde. Pour comprendre cette ascension fulgurante, il nous faut remonter dans les années 30. 

Fondée au Japon par Sakichi Toyoda, la société Toyota, dont le “D” est troqué contre un “T”, plus facile à peindre en pictogrammes, est à l’époque loin du monde des véhicules puisque l’entreprise est spécialisée dans la fabrication de métiers à tisser. Mais, ce n’était sans compter sur Kiichiro Toyoda, fils aîné du fondateur, animé par une obsession : la conquête du monde. Lors de voyages aux États-Unis et en Europe, il y découvre l’industrie automobile, et en revient amoureux au point de vouloir tenter l’aventure. Il lui reste cependant une tâche à faire, et pas des moindres… convaincre son père du bien fondé d’un tel changement pour Toyota. Sakichi ne rejette pas l’idée de son fils, mais lui impose cependant deux conditions : il sera le responsable de ce projet, et devra surtout le financer lui-même. 

En vendant le brevet de son métier à tisser automatisé, Kiichiro parvient à lever les fonds nécessaires à la fondation de son projet qui verra le jour en 1935 avec l’A1, première voiture Toyota produite à seulement 3 exemplaires, suivie du modèle AA, dont il ne reste à ce jour qu’un seul véhicule. Cependant, la guerre aura raison de la production de véhicules dans le monde, mettant à l’arrêt l’industrie automobile japonaise jusqu’en 1950.